Quand la curiosité se mêle et s'emmêle...

Lorsque la nuit fut tombée sur le château sinistre d'Antrissite, et que la lune fut voilée de fins nuages, une ombre se glissa avec agilité contre l'une des parois des remparts et se terra dans l'obscurité. Il était difficile, d'oeil nu, d'identifier ce qu'était précisément cette ombre, car elle était si souple, si rapide, que chacuns de ses mouvents étaient pratquement invisible aux regards des quelques gardes qui déambulaient le long des murailles.
Au moment où le chemin fut libre, l'ombre resurgit d'un trou creusé au sol, et sauta sur la rempart, pour s'y accrocher avec difficulter. Mais toujours sans bruit.
La créature attendit un instant, comme pour attendre le bon moment, puis sortis un fin couteau aussi égisé qu'un poignard et s'en servit pour grimper le long de la colone de pierre. Il y avait à présent un petit son de grattement de pierre, qui résonnait doucement contre les murs des remparts, mais les gardes, plus endormies que vigilants, n'entendirent rien. Seuls l'un d'eux esquissa un mouvement pour bailler sans retenu. Cette embiance arracha un sourire à l'ombre qui grimpa, grimpa, grimpa, puis arriva d'un bond légé sur la route qui dominait les murailles. L'endroit même où une vintaines de gardes, armés jusqu'aux dents, surveillaient les environs.
Pourtant, aucuns d'eux ne sembla apperçevoir l'ombre qui traversa la route pour arriver au bord de la façade intérieur des remparts.
Malgrès la hauteur à donner des vertigues aux plus courageux, la créature se plaça un bord du présipice, eut un semblant des recherche dans les yeux, puis, d'un geste souple, sauta tête première dans le vide.
Mais au lieux de s'écraser au sol contre l'herbre sèche d'Antrissite, l'ombre se rattrapa d'un bras puissant à une branche d'arbre qui ammorti sa chute mortelle. La créature se laissa donc dessendre en douçeur et sauta au sol lorsqu'elle ne fut qu'a un mêtre de l'herbe. Mais, il sembla que l'ombre n'avait pas prévue une chose. Lorsque la branche fut libéré de son emprise, elle s'envola dans les airs tel une catapulte qui projeta contre les gardes, à la fois surpris et endormis, une dizaines de pommes pourries. Le résultat fut innéviatable, alors qu'il avaient le visage couvert de compote, les gardes, hurlèrent de rage puis se penchèrent le long des murailles pour trouver le petit malin qui leur avait jouer un sale tours. Mais ils ne virent personne. L'ombre avait eut le temps de dégerpir pour se trouver une cachette. Ce fut donc en jurant et en grognant que les gardes s'en retournèrent, pensant sûrement que ce n'était qu'un gamin qui leur avait jouer un tour.

Un peu plus loin, l'ombre se glissa sous une trappe, située contre le murs extérieur du château. Une fois en cachette, la créature retira la capuche de sa cape qui lui cachait son visage, pour dévoiler sa frimousse de jeune Gelert. C'était Jack. Un néopets orgeilleux qui n'avait pas une bonne réputation. Autant à Meridell qu'à Antrissite. Tout le monde savait que ce n'était qu'un gamin, dangereux mais jeune, qui pillait les gens sur les chemains et qui avait un coeur de pierre.
Vous vous demanderez probablement ce que fabrique ce voyous dans le château d'Antrissite ; He ben, sachez que Jack est un Gelert qui suit son instinct... Et sa curoisité. C'est parcequ'il s'est senti poussé, qu'il est venu jusqu'au royaume sombre à ses risques et périls. Le Gelert était bien inssoussiant, et l'on voyait bien qu'il n'avait pas peur de mourir.

Alors qu'il observait d'un oeil interessé la pièce où il avait atteris, Jack se rendi compte d'une chose :

- C'est pas les écuries ici ! Dit-il en soupirant d'avoir commis une ereur ; C'est plutôt un cachot... Avec des cellules et des prisonniers..

Il baissa la tête et se massa le crâne d'un air passablement ennuyé.

Un, deux, trois, quatre, six... euh ... après six c'était quoi? Mais non c'était pas six... Warui comptait sur ses huit doigts depuis des heures à essayer de comprendre pourquoi elle passait de quatre à six. Elle avait l'impression d'avoir oublié quelque chose. Elle senti une présence dehors. Elle voyait une ombre dans le peu de lumière dans sa cellule. Quelqu'un était entré ici! Sitôt elle pensa que c'était pour lui faire du mal. C'était toujours ça.

Incroyablement lente car elle n,avait pas de jambes, elle se traina jusqu'au fond de sa cellule. Le peu qu'elle avait de fourure en bon état se hérissa. Elle feula de façon menaçante. Qui osait entrer dans sa cellule?

Alors qu'il fut sur le point de repartir de cet endroit lugubre, Jack entendit provenir d'un coin sombre du cachot un bruit de feulement.
Intrigué, le Gelert s'avança, la main posée sur le paumeau de son épée, en cas de précaution. Il ne savait pas quel genre de créature était enfermées ici. Dans ces cellules d'ombres où la pourritures et l'humiditée étaient reines. Il y avait aussi une drôle d'odeur d'égouts...
Malgrès cela, Jack s'avança d'un pas méfiant et jeta un oeil dans le fond de la cellule. Là bas, caché dans l'obscurité, se terrait une zafara maraqua en bien mauvais état. Jack l'observa d'un regard rempli de dégoût et de pitié.
Le pelage de la créature était troué de partout, et l'on voyait des terribles marques sur sa peau. Son regard semblait pris de peur, mais aussi de détermination. La zafara ne portait sur elle que des lambeaux de vêtements et sa queue était retenue attachée par une lourde chaîne de bronze.

La bouche du Gelert s'ouvrit doucement tandis qu'il regardait Warui. Un zafara marquatique... Il n'en croyait pas ses yeux. De tous ses longs périples et voyages sur les terres de Néopia, c'était bien la seule créature qu'il n'avait pas encore rencontré.
Les histoires parlant des maraquariens, les décrivaient comme étant de magnifique créature, mi-poisson, mi-néopets. Celle-ci n'avait pas grand chose de magnifique... Elle avait du être vraiment mal traité pour avoir cet aspect. Jack se dit en cet instant là, qu'il falait être terriblement cruel pour oser faire du mal à une créature aussi divine...

Voyant Warui feuler, un sourire malicieux apparu sur les lèvres du Gelert qui se laissa tomber à côté des barreaux d'acier moisie. Jack posa ses mains sur la grille et regarda tranquilement la zafara, avec un air malin.

- Alors le chat-chat, faut pas avoir peur de moi, dit-il avec un sourire en coin ; Es-ce que j'ai vraiment l'air d'un monstre ?

Warui recula comme elle le put. Avec la vie qu'elle avait, pas étonnant qu'elle réagisse de cette façon. C'était la seule façon qu'elle connaissait pour se défendre. Et mordre. Lui était tout près de barreaux. Il allait lui faire mal... tous des menteurs... il allait lui faire du mal... Warui se détendit comme un serpent, comme un ressort, retenr par la chaine. Elle fit claquer ses machoires à quelques centimètres de la figure de Jack seulement alors qu'elle voulait le mordre pour lui dire de partir.

Les seuls Gelert qu,elle connaissait étaient ceux qui venaient dans sa cellule et qui finissaient par se rendre compte qu'elle n'avait pas ce qu'il fallait. Warui feula encore à la manière d'un serpent. Tirant sur sa chaîne dans l'espoir de la briser et de lui sauter dessus.

Voyant la zafara maraqua tenter de lui sauter dessu pour le mordre, Jack eut un mouvement de reflex et tira son épée de son foureau. Le bruit de la lame dégaigner fit taire tous les occupants des autres cellules voisines. Les autres prisonniers allèrent se cacher dans le fond de leur prison en gémissant. Ils avaient peur... Peur de voir surgir quelqu'un avec une épée qui leur couperait la gorge.
L'effet rempli Jack d'un brin de fierté. Il aimait bien voir les gens le craindre, car cela lui donnait l'impression d'être puissant. Plus que quiconque.
Le gelert se releva lentement et regarda Warui avec un oeil hautain. Qu'es ce qui lui prennait à celle-là ? Il n'avait pourquoi rien fait pour le moment... Tous des animaux ici, pensa t-il en remettant la lame dans son fourreau.

Il resta silencieux un bref moment, puis retourna près des barreaux de la zafara. L'envie de connaîte un peu plus cette fille venait de toucher son esprit. Et quand le Gelert souhaitait faire une chose, il la faisait.

- Qui es-tu petite sauvage ? Demanda t-il d'un ton mielleux ; Pourquoi t'en prends-tu aux simples et honnêtes passants ?

Jack sortis une griffe de l'un de ses doigts, puis commença à la faire glisser le long d'un barreau, produisant alors un bruit aigue faisant mal aux oreilles senssibles. Si la zafara cherchait la guerre, alors elle allait la trouver. Jack ne se laisserais surtout pas marché sur les pieds, même par une créature de légendes.

- Et... Qu'es-ce qu'une bête comme toi fabrique dans cet endroit si charmant ?
Il ne savait pas si elle allait lui répondre... Il ne savait même pas si elle savait parler et si elle comprenait ses paroles... Peux être n'était-elle qu'un animal à qui l'on n'avait pas appris l'écriture, la langue, l'écoute... Lui en tout cas, avait eut la chance d'être cultiver. Mais de cette culture, il ne s'en servait pas vraiment... Ce qui était idiot de sa part.

- Je me présentarais bien, si seulement je savais si tu me conprenais, créature des eaux... Parles-tu ? M'entendus-tu ? N'es-tu qu'une animal qui ne sais qu'attaquer les gens sans défences ?

Son ton était ironique.

Un prisonnier releva la tête.

"Elle ne vous dira rien. Je la connais assez pour ça. Elle ne parle uniquement que lorsque Onyx lui en donne la permission, ou le roi. Warui est ici depuis plus de dix ans, elle ne sait ni lire et ni écrire, elle se méfie de tout de le monde... sauf de ceux qui ont réussi à gagner sa confiance. Je parle en connaissance de cause..."

La Zafara regarda le prisonnier et le Gelert comme un animal l'aurait fait. Il y avait dans ses yeux un grand vide mais un désir de liberté, de sortir, de vivre sa vie. Mais aucun bonheur.

Jack tourna la tête vers le prisonnier et le fixa d'un oeil prénétrant. Alors comme ça cette... Zafara ne voudrais pas lui parler. Ben, tant pis... De toute façon, il venait de trouver quelqu'un qui semblait pouvoir lui fournir des informations, et surtout lui procurer certaines réponses.

- Bon... Comme tu ne semble pas décidé à me confier ton prénom jeune zafara, je pense que je vais te baptiser... Roussette. Oui, Rousette c'est très bien. Et sa te va bien.. Ensuite,

Son regards alla de Warui au prisonnier. Un peu à la façon d'un policier.

- Je souhaite savoir plusieurs petites choses, à propos de cet endrois, mais aussi de Roussette, et il me semble que toi tu peux me venir en aide. Ho, bien sûr, ces informations ne servirons qu'à nourrir ma curiosité, mais c'est mieux que rien.

Il alla s'asseoir sur un petit tabouret qui était sûrement réserver aux gardiens, puis sortis sa longue pipe, l'alluma et regarda le prisonnier droit dans les yeux. Pret à lui poser deux trois questions.

- Ainsi, il n'y a que cette... Onyx qui puis faire causer Roussette ? Serait-elle esclave ? Et qu'a t-elle fait pour se retrouver dans cette cellule sinistre ? J'aimerais aussi savoir dans quelle genre de prison je suis là... Êtes vous Comme moi des hors la loie ? Ou plutôt des gentils rebelles ? Et que fait une zafara maraqua ici ? je pensait que ces poissons ne se trouvaient qu'au fin fond de l'océan...

Il mit sa pipe dans sa bouche, en inspirant une gorger de fumé et souffla pour la faire resortir. Il était difficile d'immaginer quelqu'un de bon au fond de ce coeur de brigant... Cependant, la mine mélancolique de Warui lui avait légèrement transpercée le coeur...

Roussette? Son nom était Warui! Uniquement! La Zafara se mit à siffler et cracher comme un animal enragé. Elle allait lui faire voir.... Quelle poisse parfois de ne pas avoir de jambes... Le Lupe prisonnier regardait Jack qui s'installait à son aise.

"Elle c'est Warui. Seule Onyx peut la faire parler car Warui est son esclave et sa domestique en même temps. Il n'y a pas de raisons à sa présence ici. Ds gardes ratissaient les bnois et l'ont trouvée quand elle était encore haute comme trois pommes. Ils l'ont emmenée au roi qui l'aofferte à sa femme. Ici c'est une prison assez mixte... mais il y a beaucoup de rebelles ici, qui veulent la paix et la liberté. Warui ne sait pas ce que veut dire libre. Elle est la seule de sa race dans ce royaume. Et n'a jamais vu un autre qu'elle. Elle n'a jamais nagé de sa vie non plus"

Le prisonnier regarda Warui qui regardait ses barreaux et comptait sur ses doigts pour passer le temps, comme à chaque jour pendant des heures.

Jack écoutait attentivement le lupe, les yeux perchés sur Warui qui crachait contre lui. La vie de la petite n'avait pas été vraiment amusante, et il eut un pinçement au coeur en apprenant que le roi Kass avait offert la zafara à sa maîtresse comme un vulgaire cadeau. Franchement ces nobles, il faudrait qu'ils redescendent de leur talons quelques fois ! Une vie, ce n'est pas un objet... Et le pire de tout, c'était que Onyx avait vraiment maltraitée Warui après l'avoir obtenue. Pff ! Jack était piqué au vif...

- Comment savez-vous tant de chose de cette fille ? Demanda avec curiosité le Gelert en fixant le prisonnier.

Certainement un rebelle de bon chemain.. Pour avoir la parole aussi aimable et pleine de bonté. Jack souffla une nouvelle fois de sa pipe, puis adressa un sourire neutre à Warui et le lupe. Il avait de la malice dans le fond des yeux.

- Je suis dehors, et vous êtes dedant... Peux être que... Si j'en avais envie, je pourrais m'arranger pour vous faire sortir de ce trou. A moins que la liberté n'est plus de sens pour vous ou que vous n'ayez rien pour me payer.

Jack regarda la zafara maraqua, comme l'on aurait observer un animal, se leva, et alla à la porte de sa cellule. Le Gelert trouva la poigné d'où pendait un gros cadena en rouille.
Le Gelert observa l'objet un instant, murmura quelque chose d'innaudible, puis leva les yeux vers le prisonnier, un grand sourire aux lèvres :

- Oui, je penses que je serais capable de vous sortir de là.. Vous et Roussette.

Venant de la part de Jack, l'intention n'était certainement pas que généreuse. ce vaurien attendait sûrement que l'on le paye ou le réconpense en échange.

Warui finit par se rouler en boule. Le Lupe n'avait pas une si grande peur face à Jack mais se méfiait de la lame quand même. Jamais faire trop confiance.

"C'est petite est arrivée ici elle avait cinq ans... alors elle m'a tout dit vous comprenez bien... ça fait treize ans que ça dure pour elle... comprenez-la... elle a passé sa vie ici en tant qu'esclave... elle ne connaît rien d'autre..."

Le Gelert regardait le vieux cadenas rouillé qui gronçait au moindre mouvement. Il parlait d'argent.

"Vous demandez aux mauvaises personnes... personne ici n'a de pièces sur lui... surtout pas elle... elle ne sait même pas ce que c'est... ne pensez pas non plus être récompensé avec elle... ses gardes essaient depuis des années ils n'ont jamais trouvé...."

Le Gelert lacha le cadena qui retomba pour se pendre le vide avec un grinçement sourd. Jack regarda le lupe, puis Warui, le lupe, Warui.... Puis haussa les épaules. Il n'avait le coeur de laisser ces gens pourrir dans cette prison. Et puis, autant les libérer pour embêter le roi et sa maîtresse.
Le Gelert aimait beaucoup semer le trouble chez les nobles. C'était divertissant à ses yeux de voir, par exemple, une princesse se noyer dans un fleuve en plein hiver.
Cependant, la réponse du lupe noua quelque peu la gorge de Jack. C'est pourquoi il répondit amèrement en sortant de sa poche son couteau aiguisé :

- C'est bien dommage.. J'aurais bien voulu m'acheter un petit quelque chose à manger... Hum... Aucune importance. Si je peux rester deux semaine sans bouffer, autant trois. Je me contenterais d'herbe.

Il tourna ses yeux amandes vers Warui qui gisait là, au fond de sa cellule, puis se mit au travail, mettant à l'oeuvre ses talents de cambrioleurs. Jack introduit la lame de son couteau dans le cadena et la fit tourner doucement, puis avec tenacité. Il y avait un bruit assourdissant qui résonnait dans les cachots, et tous les prisonniers avaient un oeil au dehors de leur cellule pour voir d'où venanit tout de bruit.

- Un coup à gauche... Droite... Levée à quatre-vingts et... , marmonait Jack tout en bossant, la mine hyper concentrée.

Le Gelert se donnait du mal pour rien. Si, pour aider des personnes qui comme lui ne méritent pas une vie aussi dramatique. Jack s'arrêta un instant pour faire une pause, allant chercher sa pipe pour en souffler un coup, et retourna travailler.
Au bout d'une demi-heure de travail, le cadena tomba au sol. Brisé en deux, et la porte de la cellule de Warui s'ouvrit dans un grincement d'enfer.
Sans s'attarder pour aller voir le poisson, Jack alla vers la cellule du lupe et recommença sa tâche...

"Ils nous dépouillent dès qu'ils nous attrapent..."

Les prisonniers bougeaient la tête de partout pour savoir d'où venait le bruit. Ils cherchaient et finirent par en trouver la source. Ils se mirent tous devant leur barreaux pour mieux voir. Le Gelert forçait la cadenas de la petite Warui. Ils l'encourageaient. Il fit une pause. Et reprit.

Warui, elle, le regardait sans rien dire. Elle recula encore un peu puis se mit dans l'ombre d'où on ne voyait que ses yeux. La Zafara ne voyait pas pourquoi il se donnait du mal pour elle. Elle remua faiblement la queue, créant un bruit de chaîne... oui madame était toujours attaché.e au mur et seule Onyx avait la fichue clé.... fin bon... Jack devrait pour voir s'en tirer... un vieux cadenas...

[ Fatiguée va avec court... ]

Il fallu moins d'une demi-heure à Jack pour forcer le cadena du lupe prisonnier, car il avait acquis la tactique grâce à celui de la demoiselle Warui.
Tout en ouvrant la cellule de l'évader, le Gelert se posa tout plein de questions. Pourquoi était-il si bon aujourd'hui alors qu'un autre jour il aurait sans doute laisser moisir ces prisonniers à leur triste sort. Qu'es ce qui lui prennais ? Etait-il malade ou idiot ? Il ne su répondre à ces questions...

- Finissons au moins ce qu'on a commençer, grommela t-il en allant vers la cellule d'Azera qui semblait encore attacher à quelques chose. Ce qui agaça le Gelert. Pourquoi irait-il se casser la tête à aller chercher une fichu clé pour sauver une fille qui aurait bien voulu le croquer ? C'était inssencer. Et le pire était qu'il semblait avoir oublier sa devise dans tout cela.

- Seul pour toujours, sans aider les autres...

Il entra dans la cellule de Warui et regarda cette dernière avec dégout et songes. Que faire...

Warui faisait la même chose. Elle le fixait en se demandant ce qu'il voulait et pourquoi on la libérait alors que Dame Onyx la gardait ici. L'ordre ne venait pas de sa maîtresse. Alors si elle fuyait elle pourrait être rattrapée. Et souffrirait encore plus. Elle ne pensait pas survivre encore longtemps de toute façon. Elle avait froid, elle avait faim, elle avait soif et elle avait mal partout depuis si longtemps. Comme si elle avait eu mal toute sa vie. Jack était dans la cellule et la fixait. Warui piétina lentement le sol avant de s'y allonger.

Le Lupe prisionnier se massait le bras. Il les rejoignit.

"Warui... fais un sourire... tu vas pouvoir sortir... tu vas être libre. Tu vas enfin aller vivre les tiens"

Elle les regardait à peine.

"Warui? Tu m'entends?"

L'esclave s'était roulée en boule avec une respiration difficile. Elle finit par parler, faiblement. Pour cette fois que Onyx ne lui donnait pas l'autorisation.

"Warui... sortir? Warui voir soleil?"

Elle ferma les yeux. Le Lupe se disait qu'elle allait les quitter bientôt. Elle était trop faible et malade.

Jack alla s'agenouiller aux cotés de Warui pour observer d'un air professionnel le cadenas qui ne semblait plus tenir grand chose tant il était usé. Cela arracha un sourire au Gelert qui, d'un puissant coup de poing, le brisa en deux sans aucun mal. Il avait connu pire que ce machin là certe...

- Mais oui tu va le revoir ton soleil Roussette, déclara Jack en se redressant ; Maintenant, tu es libre. On fiche le camps !

Sans ajouter un mot, il sortis à pas feutrer de la cellule puis observa les alentours écoutant le silence..

- On a intêrret de partir rapidement, il y a huit pieds qui arrivent par là. Donc quatre personnes. J'en conclu qu'il s'agit de gardes.

Il se tourna vers le lupe et Warui.

- Je ne pourrais pas vous protegé face à quatre gardes armées jusqu'au dents.

Sortir... Waru plongea dans l'inconscience. Le Lupe la prit dans ses bras dans ses bras tant elle était petite. Des bruits de pas que Jack disait. S'ils la voyaient libre, ils tueraient à coup sûr. Elle accrocha à la chemise sale du Lupe Vert.

"La fenêtre par laquelle vous êtes entré... il faudrait faire passer Warui en premier et vous en deuxièeme"

C'était la seule chance de s'évader et de la sauver. Il tenait à ce qu,elle soit libre, elle qui n,avait jamais connu ce sentiment, cette impression. Toujours dans le noir. Supporterait-elle les rayson du soleil?

Jack qui était déjà entrain de passer un pieds sur le rebort de la fenêtre, se retourna vers les deux évadés et sembla hésité. Il ne voulait pas se faire prendre lui ! La prison c'était bien la pire chose qui pourrait lui arriver. Alors, pourquoi devrait t-il attendre à ces risques ici ? Pour aider de pauvres et innoçents gens qui ne demandes que de l'aide ?

- Elle en première ? Bah... ok.

Il se retira lentement de la fenêtre, avec regret, puis se tourna vers le lupe et lui prit la zafara des bras pour aller la passer en toute hate par la fenêtre. Une fois cice fait, il n'attendit pas le tours du lupe et sortis lui aussi.
Une fois dehors, il respira l'air frais et regarda d'un air louche Warui qui gisait là dans le gazon.

- Alors Roussette, c'est comment la liberté ?

Le Lupe passa la zafara au brigand. Au moins elle serait dehors, libre. Si lui se faisait prendre ça ne ferait rien. Il avait goûté à la liberté, il savait ce que c'était. mais pas elle et cette petite il s'y était attaché quand elle arrivée ici, à l'âge de cinq ans où on est encore innocent. Jack sortait à son tour. Le Lupe regarda derrière lui. Les gardes courraient vers lui. Il grimpa à la fenêtre et sortit lui aussi. Oua ça faisait du bien l'air frais!! Pas cette puanteur dans les cachots. Un bon bain bientôt qu'il se dit.

Warui gisait sur le sol immobile. Glacée. Mais la chaleur des rayson du soleil qui les frappait faisaient leur effet. Elle clignait des yeux et regarda autour d'elle. Elle leva la tête et se souleva un peu. Elle regarda autour d'elle un long moment. Il faisait chaud... elle frotta une patte sur l'herbe... l'herbe... l'herbe!!! Warui se mit à ramper sur l'herbe en poussant des couinements de joie.

"Je crois... qu'elle aime bien..."

- Je crois aussi.

Jack regarda la petite se trémousser, un sourire mi-attendrit mi-moqueur sur le visage. C'est vraiment marrant, malgré son âge, la jeune zafara avait vraiment les manières de bébé.

-J'espère quand même que cette crise passagère lui passera..., chuchota t-il devenant quelque peu agaçer par ces couinements inceçants.

Il se baissa alors pour prendre warui dans ses bras et marcha vers la murailles pour se coller dans un coin sombre. un véritable espion ce Jack ! Aucun gardes présent n'avaient remarqué sa présence pour l'instant.

- Sa va être chaud, j'ai l'impression que mon entré façon compote a attirer d'autres gardes...

Le Gelert fixait un attroupement de gardes posté devant l'entré, sortis, qui fouillaient les alentours comme pour y trouver quelques chose.

"Je l'emmènerai avec moi à Meridell, pour lui donner un vrai foyer... je l'aime bien cette petite... je veux qu'elle soit bien"

Warui se laissa prendre par Jack et se tut tout de suite. Elle sentait que le silence était de mise dans cet endroit. Elle voyait les gardes. Elle s'accrocha à Jack, terrifiée. Elle tremblait. Le Lupe lui caressa sa tignasse bleu-vert pour la assurer.

"Par là... c'est la seule sortie... pour s'éloigner suffisamment... il nous faudrait juste..."

Le Lupe s'éloigna. Il leur fit signe de rester silencieux et d'avancer lentement. Il prit une grosse pierre et la lança en direction du château dont elle heurta le mura dans un grand. Non.... il brisa un carreau de verre. Encore mieux.

Jack regarda avec satisfraction la pierre aller briser un carreau. Pas mal comme tire, le lupe aurait fait un parfait cambrioleur. Reste à savoir ce qu'il est...

- Wahou... Je n'aurais pas fait mieux...

Les gardes sursautèrent au bruit de carreaux brisé, jetèrent des regards à gauche, puis à droite et s'en allèrent, épées levées, vers la zone d'où le bruit venait. Cela rendit le Gelert plus content que jamais, et il aurait bien voulu continuer à jouer des tours à ce tas d'armures si seulement il n'y avait pas deux évadés avec lui...

- Fichons le camps maintenant, les portes ont été ouvertes. C'est à croire que vous me portez bonheur.

Jack s'élança dans l'ombre en direction de la sortie. Vite, vite ! Ils y étaient preeeesque ! Encore un petit éffort et Warui serait libre, tout comme ce mystérieux lupe vert.

- Aufaite monsieur le lupe, pourais-je avoir le plaisir de connaître votre nom ? Moi c'est Jack.

"Pour être archer il faut savoir viser..."

Les gardes s'éloignaient de la sortie. Tant mieux. Il suivit Jack qui portait toujours une warui silencieuse et appeurée. Le Lupe, une fois qu'ils furent en dehors des murailles de pierres sombre, se sentit libre. lui, nouveau, rajeunie de quinze ans. Il se tourna vers Jack.

"Chevalier Thérod, de la garde Meridell, servant sous les ordres du Roi Skarl. Ils m'ont capturé en mission, deux ans avant que Warui ne le soit à son tour"

- He ben ! Un chevalier, enchanté, dire qu'un jour j'aurais pu m'adresser à un gars aussi haut plaçé que vous, ironisa Jack tout en continuant de marcher pour aller se cacher loin des remparts ; J'aurais sus, je me serais mieux vétu mais dans de tels circonsctances...

Une fois plus loin, il déposer doucement Warui sur un tapis d'herbe puis alla un peu plus loin des deux évadés pour savourer la vue de la liberté. Même si il na'avais jamais été enfermé dans ces cellules, ces quelques temps passé dedant lui avait donner la nausée.

- Si j'étais vous, j'éviterais de prendre les chemains tant que vous serrez à Antrissite. Même déguisé, le roi Kass à de nombreux espions et vous risquer d'être remis en prison avant d'avoir fait un pas sur le sentier le plus proche. En tant qu'expert, je vous conseil de passer par la forêt, elle est sombre mais au moins vous aurez moins de chance d'y trouver des ennemis. Ils au bien trop peur de s'aventurer là-bas... POur ma part, c'est par là que j'irais.

Thérod s'agenouilla près de Warui qui s'était endormie. Tant d'air pur devait lui faire du bien. En tout son corps. Il écouta attentivement le Gelert. Thérod connaissait les raccourcis de la forêt. Il y était allé de nombreuses fois. Warui ne risquait pas de s'éloigner. Elle ne connaissait du monde de dehors. Sa seule vie se résumait à dormir et souffrir. Maintenant elle allait avoir une vraie vie...

"Je trouveraià manger dans les bois et je reviendrai chez moi, enfin. Cette petite aura un toit et un lit chaud bien à elle. Je lui promets"

Retourner là-bas serait difficile maintenant qu'elle avait gouté au soleil.

"La prochaine fois que nous nous verrons, ne soyez pas surpris si je vais vers vous. C'est que j'aurai une bourse plein avec moi, à vous donner"

Jack regarda le lupe avec un air peux être pour la première fois aimable.

- Garder votre argent chevalier de Meridell, dit-il ; Je suis peux être mauvais mais pour moi, les meilleurs services sont ceux qui sont gratuies, et vous m'avez fait réfléchir. peux être que tout à l'heure je vous ai offencer en vous demandant une récompense, mais pour tout dire, j'aime embêter les autres alors ne me prennez pas au sérieux sur ce coups là.

Il regarda une dernière fois la petite Warui.

- J'espère que Roussette aura une meilleur vie, j'ai du mal à l'accepter, mais finalement je crois que son visage ne me lachera plus où que j'aille.

Il avait dit ces derniers mots avec un brins d'humours.

- Au revoir, en espérant que nous ne nous revérons pas, je pourrais bien changer entre temps. Là je vous parais aimable, mais demain je redeviendrais ce que je suis : de la vermine.

Puis, il s'avança dans l'ombre pour disparitre des regards. On ne le reverrais pourtant dans pas si longtemps que cela..